

Aujourd’hui, 1er mai, la Fête du Travail résonne partout comme un moment de pause, de réflexion et de reconnaissance. C’est bien plus qu’un simple jour férié: c’est un hommage à toutes celles et ceux qui, chaque jour, donnent de leur temps, de leur énergie, de leur savoir-faire pour faire tourner la société.
De l’ouvrier à l’infirmière, du professeur au Journaliste, de l’agriculteur au développeur, le travail prend mille visages. Il façonne nos journées, nos identités, nos espoirs. Il peut être source de fierté, de combat, parfois de souffrance, mais toujours d’humanité.
La Fête du Travail, c’est aussi une page d’histoire. Née de luttes ouvrières pour obtenir des conditions de travail plus justes, comme la journée de 8 heures, elle rappelle que les droits dont nous bénéficions aujourd’hui sont le fruit de combats collectifs. Des voix se sont élevées, parfois dans le silence, parfois dans le fracas, pour que le mot “travail” ne rime pas avec exploitation, mais avec dignité.
C’est un jour pour célébrer les progrès, mais aussi pour rappeler les défis. Le chômage, la précarité, les inégalités salariales, les burn-outs… autant de réalités qui appellent à continuer le dialogue social, à défendre la justice, à protéger l’humain dans un monde qui change.
Alors aujourd’hui, rendons hommage à tous les travailleurs, visibles et invisibles. Levons nos verres à ceux qui se lèvent tôt, à ceux qui veillent tard. À ceux qui aiment ce qu’ils font, et à ceux qui tiennent bon malgré les difficultés. À ceux qui rêvent d’un monde du travail plus humain, plus équitable, plus solidaire.
Bonne fête du Travail à toutes et à tous.
NGAMA
Correspondant Moscou,

