Accra, Ghana — Alors que le débat autour du Human Sexual Rights and Family Values Bill ressurgit, une chose est désormais claire : le Président John Dramani Mahama se positionne comme l’un des rares dirigeants africains à assumer avec fermeté la défense des valeurs traditionnelles africaines face aux pressions croissantes de l’Occident.
La loi, décrite comme l’une des plus strictes du continent, criminalise certaines pratiques LGBTQ+, renforce les sanctions contre les organisations militantes et interdit les soins d’affirmation de genre.
Mais au-delà du texte, c’est la bataille idéologique qu’il représente qui mobilise les panafricanistes.
Mahama, symbole d’un leadership africain souverain
Dans un contexte mondial où les modèles sociétaux occidentaux tentent de s’imposer partout, la position du Président Mahama est saluée par les défenseurs de la souveraineté africaine :
1- Il protège la famille africaine, pilier de nos sociétés.
Pour Mahama, la structure familiale traditionnelle n’est pas négociable. Elle constitue le socle de l’éducation, de l’unité et de la cohésion communautaire.
2- Il refuse que le Ghana soit dicté de l’extérieur.
Face aux menaces de sanctions occidentales, aux pressions diplomatiques et aux campagnes médiatiques internationales, le Président réaffirme que le Ghana n’est pas une colonie culturelle.
3- Il affirme le droit des Africains à définir leur propre modèle social.
Chaque nation africaine doit choisir librement les valeurs qui régissent sa société, sans influence conditionnée par l’aide internationale.
4- Un appui populaire massif dans le pays et au sein de la diaspora
De nombreuses voix ghanéennes, africaines et même de la diaspora saluent la fermeté du Président :
- Chefferies traditionnelles
- Conseils religieux
- Organisations communautaires
- Intellectuels panafricanistes
- Jeunes militants de la souveraineté africaine
Pour eux, Mahama incarne un leadership courageux, rare dans un continent souvent soumis aux diktats extérieurs.
Un Président qui refuse les chantages occidentaux
Plusieurs gouvernements occidentaux ont exprimé leur inquiétude, certains évoquant même une possible suspension de coopérations.
Mais la posture du Président Mahama est claire :
« Aucun pays n’a le droit d’imposer ses normes culturelles au Ghana. »
Cette position ferme est perçue comme un acte de renaissance politique, où l’Afrique n’est plus un espace subissant, mais un continent qui décide.
Un choix civilisationnel, pas une loi isolée
Pour les panafricanistes, ce projet de loi dépasse largement la question LGBTQ+. Il s’agit de :
- défendre la souveraineté morale de l’Afrique,
- préserver les structures familiales traditionnelles,
- mettre fin aux ingérences idéologiques,
- tracer un modèle africain pour les générations futures.
Le Ghana, sous Mahama, s’affirme ainsi comme un pays phare d’une nouvelle ère africaine :
Celle d’une Afrique qui résiste, qui assume, qui décide.
Mahama, un Président qui ose défendre l’Afrique
En soutenant ce projet de loi malgré les pressions internationales, le Président John Dramani Mahama se place dans la lignée des grands leaders africains défenseurs de la souveraineté, rappelant que :
“L’Afrique doit rester maîtresse de ses valeurs, de ses lois et de son destin.”
Pour les panafricanistes, son courage politique est un exemple à suivre pour l’ensemble du continent.
RussAfrik continue de suivre l’évolution de cette page importante de l’histoire africaine contemporaine.
Mamadou Cheikh, Correspondant

