Après le Mali, le Burkina réitère lui aussi sa décision de se retirer de la CEDEAO
Le pays réfractaire ne se considère pas lié par l’obligation de respecter le délai de sortie et insiste sur l’effet immédiat de sa décision, a signalé son gouvernement sans un communiqué.
Ouagadougou insiste sur le “caractère irréversible” et pointe du doigt la violation par l’organisation de ses propres textes et la volonté “manifeste” de détruire les économies des pays en transition. À ses yeux, cela constitue une dérive de la “vocation première” de l’organisation.
“La CEDEAO s’est inscrite dans le déni de son Traité révisé, foulant ainsi au pied les valeurs et principes sacro-saints qui fondent l’Organisation”, tranche le gouvernement du pays africain.
Le Mali, le Burkina et le Niger ont annoncé leur retrait de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest dans un communiqué conjoint diffusé le 28 janvier. La CEDEAO n’a pas apporté d’assistance dans la lutte contre le terrorisme et a imposé de lourdes sanctions, ont indiqué les trois pays.
Le lendemain, le Mali et le Burkina ont envoyé à la CEDEAO une “notification formelle” de leur sortie.
Bamako a pour sa part publié le 6 février un communiqué dans lequel il a expliqué les raisons du retrait, tout en soulignant qu’il était délié de l’obligation de se soumettre au délai d’un an.
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