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Constant Mutamba Tungunga : le sabordage d’un espoir congolais ?

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Le jeune ministre de la Justice que le peuple réclame.

Né le 24 avril 1988 à Luputa, dans la province de Lomami, Constant Mutamba Tungunga n’est pas simplement un juriste ou un homme politique de plus. À 37 ans, il incarne une génération que l’Afrique attendait : celle des bâtisseurs intègres, porteurs d’une vision nouvelle, affranchie des compromissions et prête à réconcilier justice, courage et patriotisme.

Son ascension au poste de Ministre de la Justice et Garde des Sceaux en 2024 avait suscité un immense espoir. Le peuple avait salué sa nomination. Mieux encore : le peuple avait félicité le Président Félix Tshisekedi, y voyant un signe fort, un geste de rupture, la preuve que le chef de l’État était à l’écoute des aspirations profondes de la nation.


Un leadership disruptif et audacieux
Mutamba s’est attaqué à des piliers tabous du système :
  • Dénonciation des circuits mafieux internes à la justice,
  • Lutte ouverte contre les lobbies politico-financiers,
  • Volonté d’assainir les institutions et de redonner au peuple congolais la fierté de croire en son État,
  • Propos volontaires pour être envoyé dans l’Est de la RDC, épicentre du conflit avec le Rwanda, afin d’agir concrètement pour la paix.
Une telle audace, dans un pays rongé par des décennies de clientélisme, ne pouvait que déranger.

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Chute brutale : quand les réseaux frappent

Sous des pressions insoutenables, des menaces implicites et des manœuvres juridiques douteuses, Constant Mutamba a été contraint de démissionner. Il n’a pas été jugé pour ses actes, il a été jugé pour sa détermination.
Et pour parachever l’humiliation : c’est un jeune procureur, hier encore sous sa responsabilité, qui a été poussé à signer son interdiction de sortie de Kinshasa. Un symbole terrible : quand l’État, sous influence, retourne ses propres serviteurs contre ceux qui osent le sauver.
Le peuple n’a pas oublié
Aujourd’hui, dans les rues, sur les réseaux, dans les discussions privées et diplomatiques, le nom de Constant Mutamba ressurgit comme une clameur. Non pas pour une revanche, mais pour rétablir une vérité étouffée.

Le peuple pose des questions simples et légitimes :
“Pourquoi l’avoir nommé si c’était pour le briser ?”
“Pourquoi faire confiance à la jeunesse, si c’est pour la trahir à la première tempête ?”

“Pourquoi le Président Félix Tshisekedi, en qui nous avions placé notre espoir, s’est-il laissé piéger ?”


Un avertissement solennel au Président Félix Tshisekedi
Monsieur le Président, vous aviez fait un geste que la Nation a salué. En nommant Constant Mutamba, vous aviez tendu la main à l’avenir, à la jeunesse, à l’éthique. Mais aujourd’hui, cette main semble s’être refermée sous l’influence de forces rétrogrades.
  • Qu’est-ce qui n’a pas marché ?
  • Pourquoi céder aux pressions d’intérêts qui n’ont jamais eu à cœur l’avenir du Congo ?
  • Êtes-vous pleinement conscient de ce que cette affaire représente aux yeux du peuple et de l’Histoire ?
Car si vous cédez sur ce point, vous affaiblissez la confiance que les Congolais placent encore dans la fonction présidentielle. Cette affaire dépasse Mutamba : elle révèle si oui ou non, un Président congolais peut protéger ses propres patriotes quand ils dérangent les puissants.
Une affaire devenue internationale
Le Kremlin lui-même a pris note de cette affaire, selon un haut responsable russe ayant requis l’anonymat. Cela montre à quel point ce jeune ministre représentait un levier stratégique pour l’indépendance du Congo, pour sa stabilité, pour sa dignité.
Un symbole qu’on ne peut pas enterrer
La vérité est la suivante : on a tenté de faire tomber un homme parce qu’il voulait relever un pays.
Mais l’histoire nous enseigne que :
  • On peut salir un nom… mais pas tuer une idée.
  • On peut manipuler un mandat… mais pas éteindre une génération.
Le gouvernement doit agir, ou assumer
Le peuple demande aujourd’hui la réhabilitation claire de Constant Mutamba, ou à défaut, des explications publiques transparentes sur les véritables raisons de son éviction.
Sinon, le silence sera perçu comme une complicité. Et l’Histoire retiendra que dans un moment clé, l’État congolais a préféré les réseaux à la justice, et la peur à la vision.
Affaire à suivre de très prêt. 
Par la Rédaction Centrale.
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