

Le monde entier a vu cette nuit du 21 au 22 juin ce que certains refusent encore de croire : Washington n’est pas un garant de la paix, mais un architecte du chaos. En bombardant des sites nucléaires iraniens, la maison blanche révèle une fois de plus sa vraie nature : un empire en déclin qui préfère la guerre à la perte de contrôle.
Israël : un pion, pas un allié
Depuis des mois, Israël mène une guerre sanglante à Gaza, en Cisjordanie, et subit une réponse croissante de la résistance. Mais ces derniers temps, Israël perd le contrôle. Son armée s’embourbe. Sa dissuasion s’effondre. L’image qu’il voulait imposer d’une “puissance invincible” se fissure sous les roquettes et la résistance populaire.
Et que fait Washington ? Il prend la relève.
Israël n’est plus que son jouet. Et maintenant que le jouet vacille, c’est le maître lui-même qui frappe. Parce que ce que Washington ne supporte pas, c’est que l’ordre établi par l’Empire soit remis en question.
Une guerre contre l’indépendance
L’Iran est dans leur viseur non pas parce qu’il aurait une bombe nucléaire Mais parce qu’il refuse d’être une marionnette. Parce qu’il soutient les opprimés. Parce qu’il défend sa souveraineté. Parce qu’il dit non à l’ordre unipolaire.
La bombe, c’est le prétexte.
Le vrai crime de l’Iran, aux yeux de Washington, c’est d’exister en homme libre.
Qui sont les vrais terroristes ?
On accuse l’Iran d’être “dangereux”.
Mais qui a détruit l’Irak ?
Ce n’est pas l’Iran.
Ce ne sont pas les mollahs de Téhéran qui ont rasé Bagdad.
Ce ne sont pas les Gardiens de la Révolution qui ont bombardé Falloujah à l’uranium appauvri.
Ce ne sont pas les drones iraniens qui ont tué plus d’un million de civils irakiens.
Ce sont les États-Unis.
En 2003, sous un énorme mensonge les “armes de destruction massive” Washington a envahi un pays souverain.
Ils ont tué, torturé, humilié, puis laissé l’Irak en ruines.
Et ce mensonge, reconnu depuis par leurs propres dirigeants, n’a jamais été puni.
Aujourd’hui, les mêmes viennent parler de “menace nucléaire iranienne” ?
Le vrai danger pour la paix, ce n’est pas l’Iran. C’est ceux qui mentent pour justifier leurs bombes.
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Qui a rasé la Libye ?
Qui a semé le chaos en 2011. L’OTAN bombarde sous prétexte de “protéger les civils”.
Kadhafi est assassiné. Le pays, autrefois stable, devient un champ de guerre, livré aux milices, au trafic d’êtres humains, à l’esclavage moderne.
La Libye, d’État souverain, devient un chaos sans fin.
Syrie, au Yémen, en Afghanistan ?
Toujours le même nom : les États-Unis.
Ils bombardent, tuent, étranglent par les sanctions, puis prétendent venir “restaurer la stabilité”. Ils sèment le feu et se présentent en pompiers.
Ce n’est pas Téhéran qui cherche la guerre. C’est Washington qui ne supporte pas la paix sans domination.
Résister n’est pas un crime
Le monde change. Les peuples s’éveillent. L’unipolarité touche à sa fin. Ce que l’Iran incarne aujourd’hui, c’est une alternative à l’ordre impérial. Une voix qui dit non, fièrement, calmement, fermement.
Et malgré les frappes, malgré les menaces, malgré les mensonges : l’Iran reste debout.
NGAMA
Correspondant , Moscou

