Plus une goutte (ou presque). D’ici à la fin de l’année, près de 90 % des importations de pétrole russe dans l’UE seront interdites, frappées de sanctions décidées par les 27. Une décision qui ne serait toutefois pas si mauvaise pour le régime en place à Moscou, à en croire certains internautes, qui avancent que la Russie bénéficierait de la hausse des prix actuelle et pourrait trouver d’autres marchés pour écouler ses produits pétroliers. C’est aussi l’argument qu’ a en partie utilisé Marine Le Pen au micro de France Info le 7 juin : « le pétrole russe sera vendu à d’autres », a-t-elle lancé.