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Les sanctions prises contre la Russie se sont finalement révélées contre-productives pour l’Europe ; les raisons

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Les sanctions prises contre la Russie se sont finalement révélées contre-productives pour l’Europe ; les raisons

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Les sanctions prises contre la Russie se sont finalement révélées contre-productives pour l’Europe, pesant sur son approvisionnement énergétique.

Le sabotage des Nord Stream et la fermeture des vannes par Moscou ont notamment privé l’Europe d’un gaz russe bon marché et facile d’accès, souligne le responsable. Les Européens en sont réduits à acheter ce même gaz russe par l’intermédiaire de l’Azerbaïdjan ou du Pakistan, contournant leurs propres restrictions. Cela fait également l’affaire des États-Unis qui vendent leur gaz de schiste à prix d’or.

Berlin paie donc les pots cassés. Mais la France ne fait guère mieux, étant pieds et poings liés par le marché européen de l’électricité. La déliquescence du parc nucléaire français, snobé au profit des énergies renouvelables, participe aussi d’une crise énergétique qui rogne sur le niveau de vie des Français.

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Au-delà de la crise énergétique, la France fait face à des phénomènes d’appauvrissements, dus à la conduite de politiques ultralibérales, affirme François Asselineau. L’avènement de l’euro, qui tire en partie sa force de l’industrie allemande, a aussi fait du tort à Paris, qui doit se démener avec une devise trop chère pour la compétitivité intrinsèque de son économie, selon le responsable.

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