Mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine : la CPI , ou la Cour du ridicule, de l’injustice et de la honte à la solde des occidentaux

Mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine : la CPI , ou la Cour du ridicule, de l’injustice et de la honte à la solde des occidentaux

La Cour pénale internationale (CPI) a déclaré vendredi 17 mars avoir émis un mandat d’arrêt contre le président russe Vladimir Poutine pour soi-disant « sa responsabilité dans des crimes de guerre perpétrés en Ukraine depuis l’invasion russe ». La CPI accentue ses demandes sur « la déportation illégale d’enfants d’Ukraine vers la Russie ». Il s’agit d’une décision « scandaleuse et inacceptable » qui n’inquiète guère le Chef du Kremlin« Personne n’arrêtera Vladimir Poutine »Avant de songer à arrêter Vladimir Poutine, la CPI doit arrêter tous les responsables de crime de guerre qui jouissent pleinement de leur liberté. La guerre, en Irak, le conflit en Afghanistan, le printemps arabe qui a donné lieu à l’assassinat crapuleux du Guide libyen Mohamad Kadafi, etc les dirigeants occidentaux ont perpétré et commandité une kyrielle de crimes dans le monde sans être jamais inquiété. Ni la Russie ni l’Ukraine ne sont pas membres de la CPI. Il s’agit donc d’une « ingérence » bien que Kiev a accepté la compétence de la cour sur son territoire et travaille avec le procureur. Toute décision concernant la Russie est nulle et non avenue d’un point de vue juridique.Ce mandat d’arrêt international lancé contre le chef du Kremlin est un complot pour nuire.

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Une cour décriée

Créée en 2002 pour juger les pires crimes commis dans le monde, la CPI a toujours été au centre de nombreuses polémiques. Depuis sa création elle a traversé diverses crises : celle de l’annonce en cascade du retrait d’États de son système, une autre portant sur certaines pratiques du premier procureur, Luis Moreno Ocampo, ainsi qu’enfin une dernière relative au refus d’autoriser une enquête sur l’AfghanistanCette institution s’est illustrée dans la politique de « deux poids deux mesures », laissant croire qu’elle est à la solde de l’Occident. La plupart des enquêtes ouvertes par la CPI concernent des pays du Sud. A titre illustratif, il y a l’enquête ouverte en Ouganda (2004), en République démocratique du Congo (2004), au Soudan (2005), Centrafrique I (2007), Kenya (2010), en Libye (2011), en Côte d’Ivoire (2011), Mali (2013) … Par ailleurs, la plupart mandats d’arrêts émis par la CPI ont été contre des dirigeants africains, notamment Seif El Islam Kadhafi, l’un des fils de l’ancien chef d’État libyen, Charles Taylor. S’il est vrai que certains de ces mandats sont justifiés, il n’en demeure pas moins que la CPI est restée de marbre face aux exactions commises par les dirigeants occidentaux. La CPI devrait travailler à redorer son blason au lieu de s’en prendre au président russe qui depuis quelques années est devenu un soutien de taille à plusieurs pays africains surtout sur le plan militaire.

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