Urgent : une vingtaine de pétroliers coincés au large de la Turquie sur fond d’embargo sur le brut russe

Urgent : une vingtaine de pétroliers coincés au large de la Turquie sur fond d’embargo sur le brut russe

Alors que l’Occident a interdit le transport maritime du brut russe, la Turquie demande une confirmation d’assurance auprès des pétroliers qui passent par ses eaux. Par conséquent, une vingtaine de navires étaient bloqués près d’Istanbul, en mer Noire, au 5 décembre. Cela représente environ 18 millions de baril, indique Bloomberg.

Près d’une vingtaine de pétroliers s’entassaient au large de la Turquie le 5 décembre, transportant des millions de barils d’or noir, écrit Bloomberg.

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Une haute concentration de navires a été observée en mer Noire, près du Bosphore. Selon l’agence d’information, cet embouteillage est dû à une nouvelle exigence d’Ankara liée aux sanctions antirusses.
En effet, la Turquie insiste désormais pour que les navires présentent une lettre de leur assureur, garantissant une couverture dans les eaux turques. Cette décision a été adoptée le 1er décembre.
En parallèle, l’Union européenne, le G7 et l’Australie, n’autorisent l’assurance de transport du brut russe que si le pétrole à bord a été acheté à 60 dollars le baril ou moins. Ce plafonnement du prix du brut russe est entré en vigueur le 5 décembre, tout comme son transfert par voie maritime.

Ce n’est pas du pétrole russe

Cependant, les tankers en question transportent principalement du brut kazakh. Ce pays ne fait pas l’objet de sanctions, mais Ankara semble se méfier du fait que certains navires kazakhs soient partis d’un port russe et procéder ainsi à la vérification de leur assurance, poursuit Bloomberg.
L’un des pétroliers en attente est chargé par ailleurs d’environ 1 million de barils de brut russe, l’Urals, destinés à l’Inde, détaille l’agence d’information, qui se réfère aux données du trafic maritime. Son destin n’est pas encore connu.
Au total, 18 millions de barilssont maintenant empêchés de quitter la mer Noire pour atteindre les marchés mondiaux, conclut Bloomberg.

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