Voici ce qu’il faut savoir sur la mine antipersonnel Lepestok utilisée par Kiev contre des civils
L’ONG Human Rights Watch a enfin reconnu l’utilisation par l’armée ukrainienne de mines antipersonnel Lepestok (Pétale) contre des civils alors que cette arme est interdite en vertu de la Convention d’Ottawa.
Depuis le début du conflit, au moins 89 personnes ont été blessés et une est décédée à la suite des explosions de mines antipersonnel Lepestok (Pétale) utilisées par l’armée ukrainienne, selon les autorités de la République populaire de Donetsk.
Si la Russie a déjà accusé à plusieurs reprise Kiev de ces crimes, ce n’est que maintenant que Human Right Watch a reconnu l’utilisation de “milliers de mines” et la morts de 11 personnes dans la zone de la ville d’Izioum.
La mine PFM-1S est une réplique presque exacte de la mine américaine BLU-43/B (Dragontooth). Grâce à son apparence discrète il est très difficile de remarquer cette mine de 12 centimètres sur l’herbe ou les feuilles mortes.
À l’aide de roquettes à sous-munition, ces mines peuvent être dispersées en grande quantité sur une large zone. Environ 40 grammes d’explosifs sont capables de mutiler une personne en lui arrachant le bas de la jambe, dans la plupart des cas le pied.
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Arme interdite
En vertu de la Convention d’Ottawa adoptée en 1997, les pays participants se sont engagés à ne pas utiliser de mines antipersonnel et à détruire leurs stocks. En 2005, l’Ukraine a ratifié la Convention, mais Kiev ne remplit pas ses obligations internationales. Ainsi, déjà en mars, les militants d’Azov ont installé, selon les autorités russes, environ 10.000 mines “Pétales” au hasard dans des immeubles résidentiels des rues centrales de Marioupol.
Fin août, Vassili Nebenzia, représentant permanent de la Russie auprès de l’Onu, a déclaré que la mine Pétale était “la preuve éloquente de la nature sadique et sauvage du régime de Kiev, un symbole de sa véritable attitude envers les habitants de l’est et du sud-est du pays”.
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