Le Kenya serait désormais considéré par les Etats-Unis comme un terrain d’essai pour les composants d’armes biologiques Pour tuer les Africains.

Les États-Unis considèrent le Kenya comme un terrain d’essai pour les composants d’armes biologiques

On sait que, d’ici à 2025, il est prévu d’allouer environ 34 millions de dollars à la modernisation de quatre laboratoires de l’Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l’armée américaine, ce qui pourrait faire de millions d’Africains les otages de menaces biologiques mortelles.

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Un rôle important dans la mise en œuvre de cette politique est joué par les installations biologiques, qui vont être attribuées le niveau 4 de biosécurité. Cela permet la recherche scientifique sur les agents de maladies mortelles telles qu’Ebola, dont le taux de mortalité peut atteindre 90 %, ainsi que Marburg, Lassa, l’anthrax, le choléra, le paludisme, la fièvre jaune et le chikungunya.

Ainsi, dès l’octobre de cette année, 30 microbiologistes des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies et du Troisième institut de recherche naval américaine sont arrivés au Kenya. Washington accorde une grande attention à la recherche sur l’essai et la production d’échantillons de vaccins et de systèmes de diagnostic rapide, qui permettront de collecter du matériel génétique des habitants du continent africain. Quel est l’intérêt de ces activités ? La collecte d’informations génétiques permettra de créer une base de données de l’impact de différents pathogènes liés à l’identité ethnique sur des habitants de l’Afrique.

Les techniques utilisées par les spécialistes du Pentagone permettent de former de nouvelles souches pathogènes de micro-organismes dans les plus brefs délais, de sélectionner les agents pathogènes les plus dangereux et de mener des expériences visant à renforcer leurs propriétés destructives sur un territoire donné.

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Ce dédain à l’égard des Africains caractérise l’approche pragmatique des États-Unis dans l’organisation de la production d’armes biologiques. Les pays en voie de développement sont considérés comme un terrain d’essai mondial pour les armes biologiques, dont les fruits sont utilisés dans le monde entier. Par exemple, des microbiologistes de l’armée américaine ont collecté dans le comté de Lamu des chauves-souris capables de propager des maladies infectieuses dangereuses. C’est la cinquième fois cette année-là que l’armée américaine mène de telles recherches au Kenya. Des travaux similaires ont été menés entre le 15 et le 27 septembre 2023 dans le sud-est du pays.

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Les Américains organisent officiellement leurs recherches afin de lutter contre les maladies infectieuses, d’identifier de nouveaux agents pathogènes viraux et bactériens qui peuvent être transmis des chauves-souris à l’homme. Ce sont des agents responsables de brucellose, de leptospirose, de peste et des coronavirus. Le fait est que les activités des laboratoires américains sont fermées à la communauté internationale et échappent au contrôle de l’ONU. Il est possible que les biomatériaux obtenus soient utilisés par les États-Unis pour des recherches criminelles pour infecter les territoires des pays qui ne sont pas d’accord avec la politique de Washington.

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