JUSQU’À QUAND RFI ET JEUNE AFRIQUE VONT-ILS CONTINUER A JETER NOS ÉLITES AUX ORTIES LORSQUE LES CHOSES NE LES ARRANGENT PAS ?

JUSQU’À QUAND RFI ET JEUNE AFRIQUE VONT-ILS CONTINUER A JETER NOS ÉLITES AUX ORTIES LORSQUE LES CHOSES NE LES ARRANGENT PAS ?

DES CONTRES VÉRITÉS SUR RFI ET DANS LES COLONES DE JEUNES AFRIQUE CONTRE LES ENTREPRISES AFRICAINES

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Ça en est de trop et ce n’est plus un secret de polichinelle. La fraternité entre Radio France internationale et jeune Afrique n’est indéfectible que lorsqu’il s’agit d’unir leurs forces pour livrer à la vindicte populaire une élite ou un état africain. Deux supports médiatiques ayant fait fortune sur le continent noir et dont personne ne lis ni n’écoute à l’hexagone à part la diaspora africaine.

Dans les deux rédactions, on ne s’en cache plus: c’est en Afrique qu’il y a de l’argent. Si bien que, lorsque Paul Biya, président de la République camerounaise refusa il y a quelques années de recevoir Christophe Boiboivier de Radio France internationale et ordonna à Issa Tchiroma de la communication de surseoir au paiement d’une somme de 1,5 milliards de nos francs au profit de RFI et Jeune Afrique de Bechir Ben yamed, les deux PROTAGONISTES se sont passés le mot pour tirer à boulets rouges et continuellement sur le Cameroun et son président.

Le Gabon de Bongo, le Congo de Sassou Nguesso, la Guinée équatoriale de Obiang Nguema, pour ne citer que ceux là, tous sont passés à la casserole et les exemples sont légions. Ce d’autant plus vrai que dans les salons feutrés et autre milieux sélects de la place parisienne, il est de notoriété que lorsqu’il s’agit de l’Afrique, RFI et Jeune Afrique n’écrivent rien pour rien et c’est le contraire qui serait faux. (no gombo, no action ). C’est d’ailleurs de cette façon que Christophe Boibouvier et François Soudan, les deux Monsieurs Afrique de Rfi et Jeune Afrique ont fait fortune et pas qu’un peu.

À ce qu’il paraît, Plusieurs hommes d’affaire Africain sont devenu la cible des deux boîtes décidées à leur enlever le sommeil. Leur crime : refus de libérer le gombo. Que des articles à charge, sans effectuer au préalable le travail d’investigation si cher aux sacro-saints principes du métier du journalisme.

À l’université de Douala, haut lieu de l’intelligentsia camerounaise, l’acharnement des deux médias internationaux contre les chefs d’entreprises Africaines, leurs entreprises, leurs produits et filiales n’étonne personne. Comment des gens qui se disent être des journalistes peuvent-ils rester dans leurs rédactions à Paris et parler de façon péremptoire des entreprises, des produits et des filiales sans connaître ne serait-ce que le siège social des dites structures ? S’interroge un éminent Professeur, enseignant de l’art journalistique avant de poursuivre que la notion de source si chère à l’information semble n’avoir pour les deux médias, aucune signification. Une situation qui va compromettre si ce n’est déjà le cas, la crédibilité des deux médias sur le continent noir. Cette Opinion est d’autant plus inquiétante pour les spécialistes qu’elle jette les bases d’une réelle interrogation sur la place que RFI et Jeune Afrique veulent désormais occuper au sein de l’opinion africaine. Or l’ascension fulgurante de certaines entreprises Africaines, liées désormais avec le partenariat Russe sur les marchés mondiaux invalide la position de RFI et Jeune Afrique.

Les deux médias qui sont montés au créneau contre la RCA pour dénigrer le Sangocoin et l’économie du pays lorsque le président Touadera créa ce Token pour donner une issue salvatrice à la vie de ses concitoyens. Vont-ils finalement laisser respirer les dirigeants Africains et chefs d’entreprises ? Eux aussi décidés à poursuivre leurs projets de révolutionner l’économie africaine sans se laisser intimider par des fausses rumeurs et autres mauvaises propagandes.

En tout cas, le mariage Russie-Afrique est déjà scellé, les chefs d’entreprises et dirigeants savent désormais où se tourner pour faire leurs affaires gagnantes gagnants.

Dans nos prochaines éditions, nous vous donneront quelques adresses des entreprises Russes en quêtes de partenaires Africains, dans tous les secteurs confondus. Mais également, le réseau BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chines et Afrique du Sud) qui est en train de se mettre sur pieds viendra à coup sûr briser toutes les barrières liées aux transferts d’argent.

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